Napoléon s’en arrosait avant le combat : « Je suis un homme » reprend les accords de Cologne chers à l’Empereur. Citrus et bergamote en tête, on se prépare à mener l’assaut dans une ambiance de corps de garde, mi-maquis corse –sur une note de myrte-, mi-retraite de Russie. Bois de bouleau et cognac rappellent le cuir des selles, des bottes et des ceinturons. La charge sera rapide, impériale,… à la hussarde ! Energisant, testostéroné, « Je suis un Homme » convient aux hommes qui s’affirment… et aux femmes qui assument leur part masculine, et mènent l’offensive sans avoir peur d’inverser les rôles.