Recherches publiées concernant la famille TIZAOUI
Publiez ici votre recherche !
Variantes et orthographe du nom selon les langues
[+] Ajouter

Origine et Histoire de la Famille TIZAOUI

Encyclopédie mondiale des noms de famille.
Rechercher une famille  

S'abonner à la page TIZAOUI
Envoyer cette page par mail
Modifier Ce que vous savez sur le nom TIZAOUI
(Signification, origine, histoire,...)

Le texte gagnerait en clarté en ne mettant que la particularité des Tizaoui sans toute l'histoire des Zénétes (renvoyer vers wikipedia par exemple). La rédaction
------------
Les Zénètes, également appelés Zenata ou Iznaten ou Igzenaten ou Ituzinaten ou Iznassen,ils forment un groupe de diverses populations amazighes au Maghreb et sont les fondateurs de plusieurs États berbères au Maghreb, en Europe et en Afrique. Ils sont arabophones et berbérophones,Gabriel Camps souligne que le langage Zénète est dit paléoberbère dialecte ancien sans influence etrangere. En Tunisie,au Maroc,en Libye,les Zenètes formaient une grande partie des berbères notamment du nord et parlent uniquement l'arabe et n'ont aucune idée de leur passé à cause des grands changements subis dans cette partie du Maghreb, ce qu'Ibn Khaldoun confirme et que E.F. Gautier déclare. Mais, pour des raisons que les chercheurs ignorent, les populations zénétiennes n'ont pas fait l'objet d'études sérieuses dans le pays, ce qui a été signalé en 1978.Et aussi, Jacob Oliel écrit que les Zénètes ont apporté le palmier-dattier et le chameau à leur arrivée au Maghreb durant le IVe siècle. Mais, Camps dira que cet arbre fut signalé cinq siècles av. J.-C. en Éthiopie. Une erreur des historiens, c'est que l'Éthiopie que décrivent les historiens anciens n'est qu'autre que le Sahara algérien.
Il faut dire que Ibn Khaldoun fait des Zénètes un groupe distinct; selon lui, il y a les Berbères et les Zénètes deux races distinctes, mais ayant comme origine commune Amazigh pour ancêtre, et ayant la même langue. Nomades dispersés avant la période préislamique à travers tout le Maghreb comme le confirment les écrits de l'historien arabe du XIVe siècle Ibn Khaldoun dans son ouvrage sur "histoire des berbères" et aussi, ils sont sédentaires d'après le même auteur, car ils sont les constructeurs de villages dans le Sahara et dans les Montagnes. Par contre, les historiens Émile Félix Gautier et Gabriel Camps les désignent seulement nomades. Gabriel Camps comme Émile Félix Gautier parlent d'immigration de certains chameliers venus d'Arabie et du Yemen, et ces derniers seraient les Zénètes qui ont introduit le chameau au Maghreb. Mais, les historiens du Moyen Âge observent chez les Zénètes le cheval et le dromadaire.
Les Zénètes sont cités dans l'histoire lorsque qu'une femme zénète, la Kahina, aidée par des tribus Zénètes (les Dejrawa, les Banou Ifren, etc.) des Aurès, mène contre l'armée musulmane une guerre et prend tout l'Ifriqiya. Il est nécessaire de rappeler que lorsque Ibn Khaldoun parle des Aurès, il indique une zone géographique plus large que celle d'aujourd'hui ; de plus, les actuelles Aurès ont fait partie intégrante de l’histoire de l'ancienne Gétulie, Numidie, Ifriqiya.

Une partie de leurs actuels descendants dans le Maghreb ont en commun la langue Zénète qu'ils parlent encore. Leur langue, le zénète ou zenati, est une variété du berbère. Plusieurs groupes berbérophones dispersés à travers le Maghreb le parlent encore de nos jours, notamment au nord-ouest de l'Algérie et au nord-est du Maroc, c'est-à-dire au Rif oriental (tribus rifaines) et l'ouest de l'Oranie (Ayt Snousse: parlant le rifain) et dans plusieurs oasis du Gourara, des Aurès, du Sahara, dans le Mzab et en Libye, etc. Mais la majorité des Zénètes parlent l'arabe et ont abandonné la langue berbère, selon Émile Félix Gautier, qui constate qu'il n'existe plus aucun lien attachant les tribus zénètes actuellement dans le Maghreb de la province de Sousse en Tunisie, pourtant habitée par les Zénètes (actuellement une partie des Zénètes chasse à Bouficha18, jusqu'au Maroc. Il signale que la majorité des Zénètes se définissent comme Arabes. À l’époque d'Ibn Khaldoun, les Zénètes de Tunisie parlaient seulement l'arabe et s'étaient entremêlés avec les Hilaliens.
Les Zénètes comme les Sanhadjas étaient implantés en Afrique du Nord dès l'installation des premières populations berbères.

Ibn Khaldoun fait pour sa part du personnage de Medghassen, issu de la branche de Botr dont l'auteur fait remonter l'ascendance jusqu'à Amazigh et Cham (fils de Noé), l'ancêtre des Zénètes. Son mausolée, situé dans les Aurès et daté de 300 av. J.-C., est un monument de la Numidie antique (qui s'étendait du Nord-Est de l'actuelle Algérie au Nord-Ouest de l'actuelle Tunisie) et le plus ancien mausolée antique de l'Afrique du Nord15. Les historiens chercheurs Emile Félix Gautier et Gabriel Camps parlent uniquement d'une sépulture royale numide et en aucun cas n'en font celle du patriarche des zénètes.

La confédération des Nefzaouas avait pour ancêtre un personnage originaire du Yémen dont l'épouse était berbère. Cet ancêtre appelé Luwata serait d'origine copte selon Ibn Hazem, ce que dément Ibn Khaldoun20.

Les Zénètes auraient occupé à l'origine la Libye, les Aurès, l'ouest de l'Algérie, la région de Tlemcen, le Mzab, la Moulouya (fleuve de la région d'Oujda au Maroc), le Mali, le Niger, etc.
Zénètes n'avaient pas la culture de l'écrit et ils n'ont pas préservé leur histoire29. Néanmoins, ils ont su protégé leur langue et leur culture comme tous les Berbères.

L'histoire des Zénètes du Maghreb est très complexe. En effet, selon Rachid Bellil, la thèse fondée par les historiens arabes et occidentaux qui stipule que les Zénètes ont fait une immigration d'est en ouest est classée dans un tropisme oriental. Il est difficile d'établir des liens entre les tribus zénètes qui sont dispersées dans différents endroits du Maghreb. Aussi, les Zénètes gardent toujours le nom commun de leur nom de tribu, malgré la séparation de distance de deux tribus qui ont le même nom.
Au cours du règne des dynasties pharaoniques, les Zénètes ou Gétules et les Garamantes auraient été hostiles aux souverains et ont installé la terreur dans cette région à l'aide de leurs chevaux et de leurs chars de guerre.

Durant cette même période, ils construisirent plusieurs monuments ayant des points de ressemblance avec les pyramides d'Égypte comme le tombeau de Medghassen ou les Djeddars.

Les Touaregs qui seraient issus des Banou Ifren ont également laissé des fresques dans le massif du Hoggar où l'on voit les Garamantes accompagnés de leurs animaux et de leurs chars. Les foggaras (ifeli en zénète), les ksours sont gardés précieusement au sud.

Les Zénètes, issus selon Ibn Khaldoun pour leur majorité des trois grandes tribus berbères des Maghraoua, des Dejrawa et des Banou Ifren, ont laissé des vestiges antiques au nord de l'Algérie comme la cité de Tilimeyen dans la vallée du Saf Saf.
Ibn Khaldoun rapporte que les Zénètes étaient nomades et que chaque tribu avait son territoire avant et pendant l'ère musulmane en Afrique du Nord. Ils ont appris l'arabe (lecture et écriture) pendant la période islamique, ce qui leur a permis de réaliser des transformations dans la vie bédouine et montagnarde dans le Tell et au Sahara.

D'après lui, les Zénètes du premier temps se divisent en trois grandes tribus. Les Dejrawa, tribu de la Kahena. Les Maghraoua vont aussi subir beaucoup de pertes humaines. Les Banou Ifren qui eux aussi vont perdre beaucoup des leurs.

Selon Ibn Khaldoun, la première branche initiale Zénète formée par les deux tribus des Maghraoua et des Banou Ifren ont bâti une dynastie. La deuxième, les Mérinides et les Abdelwadides, ont été deux grandes dynasties.

Pour lui, l'esprit de corps était plus fort chez les Sanhadja, les Kutama et les Houaras que les Zénètes. Leur nombre aussi était plus important dans ces trois tribus que chez les Zénètes.

Les alentours de Tlemcen auraient été composés des royaumes Zénètes dans l'antiquité. Des Gétules (Zénètes) auraient vécu dans cette partie du Maghreb. Plusieurs rois Gétules purent contrebalancer l'Empire Romain. L'exemple du héros Tacfarinas qui, vers 17 après J.-C., soulève tous les tribus Gétules (Zénètes). L'indomptable Tacfarinas mourut à Pomaria (Tlemcen actuellement).
À la mort de Kusayla, au VIIe siècle, des Zénètes, et plus particulièrement les Banou Ifren, se soulèvent, à l'image des Dejrawa sous la direction de la Kahena, en opposant une longue et sérieuse résistance aux nouveaux conquérants.

L'islam se répand toutefois peu à peu, notamment grâce à l'action de Tariq ibn Ziyad issu selon Ibn Khaldoun de la tribu des Nefzaouas et de Musa ben Nusayr20. En 711, des Berbères migrent vers l'Andalousie et y laisseront une trace de leur talent en cavalerie de même que leurs chevaux.

Dès le VIIIe siècle, la plupart des Zénètes adoptent la doctrine sufrite alors que d'autres deviennent kharidjites voire nekarites, c'est-à-dire rigoristes mais égalitaires en opposition au système du califat des Omeyyades. Ils tenteront d'expulser tous les Arabes du Maghreb sous la direction d'Abou Qurra venu de Tlemcen.
Autre empruntre laisser par nos ancetres a Beni Snous (At Snus en langue berbère) est une commune de la wilaya de Tlemcen en Algérie.En 1984, la commune de Beni Snous est constituée à partir des localités suivantes :

Khemis
Menzel
Béni Hammou (chef-lieu)
Ouled Moussa
Ouled Arbi
Béni Achir
Mzoughen Aimani
Sidi Larbi
Mazer
Ouled Bouchama
Béni Zidaz
Gasba.

Les Beni Snous forment un petit îlot berbérophone de l'ouest algérien. Sur le plan linguistique, ils peuvent être rattachés à l'ensemble rifain et plus particulièrement aux Béni-Snassen du Maroc vivant dans l'autre côté de la frontière. Les habitants sont villageois et arboriculteurs4.

Entre 1905, le sociologue français Edmond Destaing a étudié ce parler. Il en a écrit plusieurs essais dont le Dictionnaire français-berbère (dialecte des Beni Snous).
La fête de l'Yennayer (nouvel an berbère) est toujours célébrée le 12 janvier par la population Beni Snous.

Les Beni Snoussi sont derniers amazighen à fêter le carnaval Ayred consistant à se déguiser et passer de porte en porte pour réclamer des friandises et autres délicieux gâteaux confectionnés pour l'occasion. Le pain aux œufs ou tadjaout est aussi cuit ce jour.

Cette contrée[évasif] a fourni de nombreux savants[Lesquels ?] et rois berbères[Lesquels ?] à Tlemcen sous la dynastie des Zyanides. Le plus connu est l'un des plus grands savants théologiens, à savoir Esnoussi
Le village de Mazzer est encore actif, mais la région abrite les ruines de nombreux villages anciens qui attestent une extension beaucoup plus grande des populations notamment avant le XIIe siècle dont la famille TIZAOUI y est attacher fortement deux origines sont issu de cette famille une yemenite et une autre part tres berbere.
Les TIZAOUI dans le monde
Echangez ci-dessous avec les TIZAOUI du monde entier (Discussion publique).

20 juillet 2016, 01:24

vient de rejoindre FamilyBy.

19 février 2013, 02:13

vient de rejoindre FamilyBy.

06 décembre 2011, 20:18

vient de rejoindre FamilyBy.

06 décembre 2011, 20:17

vient de rejoindre FamilyBy.

26 septembre 2011, 11:09

vient de rejoindre FamilyBy.

07 janvier 2011, 08:59

vient de rejoindre FamilyBy.